17/12/04

J’invite toute personne à venir raconter ici même leur journée du 17 décembre de l’an 2004….

Chapitre premier :Kooms

J’ai su depuis le debut que cette journée allait être merveilleuse, surement dû au fait qu’elle soit celle du repas de noël, et du même coup celle qui me separait de vacances tant attendues…

8h00 : Arrivée au lycée acceuillie par par l’applaudissement de mes amis, du fait de mon abscence la veille, ça fait toujours plaisirs, et aussi par la création du C.A.F (commitée anti-firewall) crée par Mr Loup et moi même…
Entrée en español cette fois ci acceuillie par un large sourire de ma charmante professeur de la langue d’Iker casillas, ravie de voir que ma presence ce jour-ci ratrappé mon abcsence de la veille, je me doit donc de rattraper le DS manqué.Mais ce seul dans une salle, éclairée par la mourante lumiere de la lune, et surtout la possibilité de jouir de mon lecteur mini-disc…faire un DS d’español en ecoutant Aerosmith, Saez, Doc, et beaucoup d’autre c’est quand même un grand moment dans une vie….

9h00 :Cour d’économie, qui dure en tout et pour tout dix minutes, quinzes peut être, le reste de la seance etant normalement reservé à l’avancement de travail personnel en eco, mais qui ce transforma vite en bavardage entre camarades…

10h00 :A ma grande joie, je me rend compte que le temps et gris, et legerement pluvieu, tous ce que j’aime…

10h05 :Arrivée en salle d’histoire, banal j’usqu’au dernier quart d’heure, objet d’un insoutenable attente du lachage pas notre professeur (charmante aussi) pour être bien placé dans la queue du self, pour eviter de manger à 14h, mais surout pour etre au cœur de la baitaille pour l’accession dans le refectoire…nous serons lachés à 11h43…

C’est là que commence l’affaire, imaginez 200 éléves de base, se bouscoulant au pieds des pions formant non pas une queue mais un boule/marrée humaine, avec facilement 35 personne par métres carrés.Chacun d’entre nous sa retrouvant comprimé entre une dizaine d’autre, beaucoup se plaignant d’être comprimer contre une certaine barriére (voir shema).Trois pions sont chargés de faire régnait l’ordre dans tout ce tumulte adolescent, essayant de nous civilisé, « 2000 de civilisations poue ça » dit un pions voyant la geniale bande d’abrutis que nous sommes.Mais voilà, tout cette foule ça fait du poids, et lorsque l’on pose nos cerveau par terre, la masse se met d’acoord pour avancé et faire des pions de pauvres caillous au milieu d’un torrent (je fait du pompeux pour Mr loup). Et voilà, on arrive à faire une perçée dans leur defense , et par deux fois 50 éléves passent…une centaines reste en haut exerçant une pression continue sur des pions totalement dépités de nour voir les traiter de la sorte.Petit explication, les pion se trouve en haut d’un escalier, le refectoir en bas, la largeur de l’escalier doit faire un metre, d’un coté un mur, de l’autre une barriere….
Moi j’était de ceux de la secondes vague et je ‘amusée de la tete de ces pauvres pions incapables de gerer notre foule, et poussés constament par la foule vers le bas de l’escalier.Voyant tout ça un pionne sortie du refectoire guele à la foule « oh vous arreter sinon personne mange, on remet tout dans le camion »un silence regne…puis un « TA GUELE » sort de la foule silencieuse…..Mr loup avez frappé.Ce qu’il à fait etaint en soi fantastique et stupide, il a des couille ce MR loup, malheuresement, l’hilariité de la foule, mettant les pions plus bas que terre leur donne pas d’autre solution soltion que de punir l’auteur de cette looserie….pas de repas de noêl pour lui…
20 metres me sépare de la porte, la situation devient rave pour nos chers pions (qu’on aime bien au fond) , les éléves les ont repousser au bas des escaliers…la pression se fait de plus en plus forte, une nouvelle pionne et appelé en renfort pour contenir les cretins…^^.Après tout va très vite,12h44 et quelques secondes une petit « grrrrrrrr » se fait attendre les silence envahit les lieu pour une demi seconde ou tout les yeux se tourne vers la « queue » j’usqu’à que la barriere céde !!!!!!!!!!
Une vongtaine d’éléves se retrouve à terre, les un sur les autres, se qui ne tombe pas en profite pour se debarasser des la triste retenue des pions…..tout le monde rit….sauf les quelques uns blessé dans l’accident…un genou sera gravement atteint……..
Le pire dans tous ça, c’est que le repas de noêl a rien d’exeptionnel, une cannette de coca, et des chocolats rien de plus…mais bon apparemment ça suffit pour justifier nos acte ^^ (ah c’est bon la loose !)

LE repas sera animé par un toast au deux victimes de la journée, Mr loup et al barriere (à jamais notre cœur….je parle de la barriere), et aussi par une pyramide de cannettte de coca (qui s’ecroulera vite !)….

La journée sera conclue par un retour a pied chez moi sous un debut de tempête qu s’abbat au moment oou j’écris ces mots….mes amis gloire à nous et aux pions, lachement abandonnés aux fauves que nous sommes, et surtout abandonnés par le propre chef…



J dsl pour les fautes, je ne suis pas sur qu’on me lise, alors pkoi me relire !!!!!!!!


Les photos arrivent et les shema aussi…

Qu'est ce qui peut pousser une barriére à se suicider sous la pressions de 1500 éléves?...
Aujourdui est un grand jour, au milieu de la queue du repas de Noël du self du Lycée Jeanne D'arc, Dieu nous à touché de sa main...La barriére de la queue, voyant tous ces pauvres éléves compréssés entre eux a décidé de se rompre, de cesser d'exister en équilibre...
Que m'arrive t'il? La barriére se penche, elle a rompu, nous nous viendons tous sur le sol tels des malprores, grandiose, le plus magnifique des moments de loose.

Vive la confrérie de la barrière.

Je retranscrit le sparoles de Mr Gamlas...

Il y a des jours ou la vie est un long fleuve tranquille, et d’autres ou nous vivons au beau milieu d’une tempête, parfois de larme et souvent de rire… le vendredi 17 décembre 2004 fut l’un de ses rares jours de larmes pour les uns et de rires pour les autres, et entre autre pour la bienvaillante « communautée de la barrière ».

Au beau milieu de nul part, il existe une petite bourgade bien tranquille et son lycée, « Jeanne d’Arc ». Comme tous les ans, un merveilleux repas de Noël est organisé pour célébrer la naissance du sauveur, amen. Et comme tout les ans, les hautes pontes de Jeanne d’Arc ont la merveilleuse idée d’annuler les cours de 12h à 14h, pour que tous et toutes puissent ripailler dans la joie et la bonne humeur et autour d’une tablée pour la moins conviviale ; et notre vaillante communautée ne faillit pas à la règle… mais tout cela fut avant l’incident. Le genre d’incident qui te fait prendre conscience qu’une vie est courte et intense, qu’une vie ça se déguste, qu’une vie ça se dompte… et parfois, ça dérape.
11h45 : 80% des lycéens ont quitté leurs classes dans l’espoir de devancer leurs rivaux… en vain.
11h50 : la cloche retentie que déjà, une formidable vague noire digne de l’ouverture d’un grand magazin en période de Noël s’est formée devant le self du lycée. Devant la prouesse des surveillants, la vague s’étant et coule vers le préau, et plus loin vers l’entrée du self. Pourquoi cette cohut ? Surement dans l’espoir de déguster un repas de rois… l’espoir fait vivre dit-on. Plutôt une sorte de rituelle Jeannedarcien.
12h00 : Première grosse vague. Les surveillants (vigiles ?) n’ont rien put faire. 82 personnes ont passé le front.
12h09 : les mouvements reprennent. Compressé entre deux sacs, je ne peux rien faire… ou plutôt attendre le bout du couloire. Au loin, une fille est écrasée contre la barrière et demande déjà le salut.
12h23 : 2e grosse vague. La plupard de mes compagnons ont évité le cauchemare et son en lieu quasi-sur. Les surveillants se sont lachement fait abandonnés par leur supérieurE qui se terre comme une mauvaise bête dans son terrier. Il faut maintenant anticiper seul, et vite ! Un effort d’organisation permet aux assaillants de reculer jusqu’en haut de l’escalier.
12h28 : Je profite d’un moment de calme pour me faufiler vers l’escalier, anticipation stratégique pour ne pas être happé par la prochaine vague… à mon avantage d’ailleur puisque 8 minutes plus tard, la foule grandissante gagne 6 centimètres, et moi deux marches.
12h35 : je suis devant les surveillants, une bouffée d’aire dans un combat sans but. Une recrue adverse vocifaire une menace, très vite écartée par mon compagnon d’arme (Loup), petit physiquement, mais sûrement pas mentalement. L’ennemi est surprit par un sublil « ta gueule » lançé, et nous avons une perte de notre côté, pour notre plus grand désarroi.
12h42 : Je ne sais par quel miracle, j’ai avançé de 3 marches environs… la foule se fait de plus en plus insistante. Si je veux survivre, il me faut colaborer. Avec un équipier (Alexis), nous décidons de former un mur de notre corps… à ce moment là, nous ne sommes ni dans un camp ni dans l’autre. La loi de la jungle semble avoir prit le dessus.
12h44 : Il faut résister… résister. Notre bouclier humain composé de 2 parties commence à céder à droite de l’escalier. Il me reste alors deux choix : ou bien je me relache, et risque de partir propulsé en avant; ou bien j’opte pour me cramponner à la barrière de toute mes forces et résister. Je n’ai pas beaucoup de temps… j’opte pour la solution deux, celle qui déclancha tout ; le début de la fin en quelque sorte.
12h46 : Ma main est agrippée à la barrière. Celle-ci comence à craquer et je sens mon poid (et celui de 15 personnes) tomber sur le côté gauche. Pendant une demi-seconde, la nature semble s’être arrétée. Plus personne ne parle, le « silence avant la tempête ». Et là, entrainé par la barrière qui cède petit à petit, je m’affale sur l’herbe humide, alors que j’écoutais un peu de musique pour me rassurer. D’ailleur, mon balladeur s’arrète sur une chanson de Nightwish : sacrament of wilderness à 2 minutes et 14 secondes. Il me faut peu de temps pour me rendre compte que je suis à terre. Ai-je perdu ? Suis-je maintenant un homme mort ? Sans réfléchir, j’extirpe mon corps de la masse et cours vers le préau. Ici, je me retrouve arrété par un nouveau mur formé par les surveillants. Devant moi, le vide. Et là, une brèche s’est ouverte devant moi : pour ma graçieuse colaboration, j’ai gagné mon ticket de sorti de l’enfer !
12h53 : Retrouvaille avec les autres membres de la communautée de la barrière. Nous sommes heureseument tous saint et sauf. Je remerçie une dernière fois le ciel et nous partons ripailler pour fêter ce qui fut l’un des plus grands moments de notre misérable vie, en portant un toast à notre regrété…

Ainsi s’achève l’une des grandes aventures de la communautée, qui marquera sans doute à jamais notre dernier jour de l’année 2004 à fouler le sol de Jeanne d’Arc (pour certains).

Remerciement aux 9 membres de la communautée de la barrière : kooms, Mr Loup, Yayou, amador, vash, Alexis, almeida, Mr bertin, et moi.

Gamlas

Le repas de noel n'a que une qualité la queue. Ma journé

Ce jour qui s’amorce est pour beaucoup le dernier avant les vacances, il est aussi celui du repas de noël, grand repas ou tout le lycée, même ceux qui ni mange jamais, se retrouve au self. Ce coktail entrain une ambiance électrique…
7 H45 Je suis avec mes amis dans le mythique hall 2, on discut de chose et d’autre, et on s’entend sur la réunion devant le self.
8H10 je suis en cour de chimie et déjà les premier conséquence du coktail se font sentir. La prof de chimie apelle un dénomé Jean Nono au tableau pour la correction des exercice s’en suivi cette incroyable dialogue
JN : désolé mais je ne les est pas fait. (Dit il avec un grand sourire)
PC : Vous fiché rien cette année ! pourtant j’ai entendu dire que l’anné dernier vous etiez un exélent éleve. (Sa vois s’ambal s’accéler elle est ponctué de quelque gsii du a la salive et de nombreuse remontranc que je vous épargne de peur de me répété)
En plus on a le culot de vous demandé les encouragement aux conseil de classe (elle se tourne la discusion est finit…)
JN : MADAME (vocifer t-il : elle se retourn surpris) je ne suis pas responsable de se qui se dit en conseil de classe
PC : Oui très bien mais pourquoi vous asseoir au fond vous faite vrément rien !
JN : excuser moi mais il n’y a pas d’autre place
La prof termine pas d’habituel remontrance et punition.

Je fais l’impasse sur le DS d’anglais qui suivi…
10H00 cour de math um oui des maths des maths et des maths. Durant se cour Deux éléve serons viré de cour… Bien sur comme tout les autre classe nous mériton d’etre relaché en avance pour l’annuel cohut. Ceci est donc fait nous somme laché a 12H52 (sisi 2 minute après la sonerie s’est en avance pour elle)
Je me retrouve devant la queue, ou sont mais amis ? Je les cherches je monte sur une passerelle les vois et remarque que mon retard me pénalise déjà ! A se moment la je sait que je ne pourrais pas mangé je n’est plus de sous sur ma cart. Ce n’est pas grave je ne veut pas manqué la queue. Je me « faufill » a coup de pousse toi je vais just voir un pote je revien tout de suite. La ruse me permet de refair mon retard. A ce moment la la poussade comence, il faut pousser au maximun et bloker pour évité la contre poussade. La queue avance très lentement les pion on le dessu. Je possede deja 1 metre d’avance sur mes compagnon le jeu de la queue mes favorable. Je me retrouve devant l’endroit ou il faut tourner j’ai reussi a ne pas etre contre la barier derrier moi une fille sufoque déjà. Je gagne quelque place évite de me fair prendre dans le piege du virage grâce a des contre poussé. Les pion recul petit a petit je me retrouve 5 metre devant mes camarade, je ne touche plus toujour le sol me repossant sur ceux de devant. Je suis dans se qu’on apelle la premier vague ! d’un coup une térible poussé arier fait séfondré la piramide d’éléve. On avance tous de 2 metre involontairement devant moi les premier ligne s’affale, je vogue inexorablement vers cette catastrophe. La fill devant moi tombe, c’est mon tour…Non il ne faut pas que je tombe…elle essay de se relevé mais je m’apuis sur elle (la classe non ?) un saut me place en lieu sur. La vague se propage dans la seconde queue après les pion. Je ruse en passant sur le coté je gagne 40 place en 10 mettre. Mais stop il faut fair demi tour j’atend mais amis qui ne sont toujour pas passé. A cette instant je peut respiré j’ai une pensé pour euh. Il me rejoigne, mais certain sont encor dans se qui va etre la terrible 3eme vague ! Une pionne au loin vocifere et menace Um je suis bien caché dans cette dense foulle. Um « Ta guele » se mot involontair sort de ma bouche… S’est bon pas de sanction…Enfin si un autre pion ma vue et veut vengé sa camarade dégouté. Il me prive de mangé ! (je n’est plus de credit mouhahaha sa change rien).

Je rentre dans ma tanierre je mange surement mieux que mes amis. Et quand je revient et vois mon groupe d’amis, il me happe et me montre l’incroyable barriere ! La journé s’achéve par des cour acréme,té de nombreuse altercation.

Je me rend enfin a mon repas de classe

C'est beau (il faut le regarder avec un regard de loser )

Ton dessin est magnifique, il retranscrit totalement l'ambiance de ce moment mémorable du 17 decembre 2004. La marée de lycéens contre 2 pauvres pions, la barrière qui s'écroule, et le mieux c'est l'emplacement de la flaque. Vu de l'interieur, ou je mangeais une demi-langouste, du foie gras, et plein de bouffe chères. Ce qui fait que depuis un mois la bouffe est dégueux, pour faire des economies, pour pouvoir payer ce magnifique repas de noël ou le bordel l'emporte sur la magie habituelle de Noel. Limite je suis un peu deçu que la dame qui donnait les chocolats ne soit pas déguisée en Père Noel, histoire d'etre encore plus ridicule.

Je dois juste insister peu plus sur le repas de classe, ce que n'a pas fait Mr Loup. J'annonce la couleur, repas super organisé au McDo, et fin de soirée au Pyros... Alors deja, au niveau de l'horaire et du point de rendez vous, c'etais pas evident, certain sont venus 1 demi heure trop tot, et l'organisataur, Dinojoris, s'est pointé en retard. Enfin une fois que tout le monde fut retrouvé, on a pu aller au resto, pardon, au Mc Do, mais comme nous etions une vingtaine, c'etais pas evident de manger tous a la meme table, mais on a quand meme essayer, en se serrant, en tentant de mettre les plateaux en travers, mais rien n'y a fait, le groupe fut scindé en deux. Nous mangeons donc, pardon nous bouffons, et nous sortons de cet endroit qui pue la graisse et les frites. Tout le monde se retrouve dehors et il faut maintenant choisir un bar et surtout le chemin pour y aller...vive le debat interressant. Enfin nous decidons pour le Pyros, ou la soiree s'est, comme d'habitude, terminée en beuverie... mais il ne faut pas oublier que le lendemain, nous avons philosophie de 8h a 10h, je suis donc contraint par mes parents a rentrer a 23h sur la place de Jaude ou ils doivent venir me happer et hop au dodo... mais en bon fils de looser, ils ont oublié et se sont endormis devant la tele, et j'ai du appeler chez moi pour les reveiller...
Voila encore une bonne soiree de loose

J'avoue Kooms, tu as des talents d'illustrateur !

Kryn'N a écrit:

[...] ou je mangeais une demi-langouste, du foie gras, et plein de bouffe chères. Ce qui fait que depuis un mois la bouffe est dégueux, pour faire des economies, pour pouvoir payer ce magnifique repas de noël ou le bordel l'emporte sur la magie habituelle de Noel

Tout a fait daccord pour le repas...s'est des gros radin au self par contre s'est pas sa l'esprit de nöl se battre pour bouffer ?

Kryn'N a écrit:

Je dois juste insister peu plus sur le repas de classe, ce que n'a pas fait Mr Loup.

Quand j'ai posté le repas de classe n'avait pas comencé...



Magnifique kooms ton shéma

Que nous est-il arrivé en ce dernier jour d'enseignement dépravé? Ce tout parti d'un rien, ce chaos touchant l'unique, ce moment hybride dans cet espace désormais marqué d'un saut...

Il avait fallu que la journée commence par ce pseudo-enseignement que ces belles gens du gouvernement ont la fierté d'appeler l'éducation nationale...Qu'arrive t'il à notre brave enseignante d'Histoire géographie? Malgré un essai, malgré la volonté, rien n'a pu faire, les élèves avaient en tête de partir à 11h45...
11h46, me voila la visage à l'air libre, entouré d'une partie de mes compagnons...de mes frères d'aventure...
11h49, le self s'impose à nous, ainsi qu'à un nombre incalculable d'autres élèves sous la même besogne que nous: survivre à la queue du repas de Noël...Cet enfer méprisant...Cette apocalyptique lutte annuelle...
Gamlas et moi avions décidé d'être solidaires: épaulé par notre frère d'arme Lexei, nous n'étions plus que des corps inertes, désormais entourés du corps des autres guerriers combattant pour leur salut: Manger. J'avais fait signe à Lisa que nous allions tous manger ensemble...Mais je ne me doutais pas de ce qui m'attendais...comme dirait Chris Redfield, Tireur d'élite des S.T.A.R.S.: "and it turned into...a Nightmare..."
Il était 12h passé...nous commencions à sérieusement sentir la pression de cette queue chaotique en ce jour hybride...tant bien que mal, je tends la main vers mon compagnon Almeida dans l'éspoir de rester unis dans la douleur, mais rien n'y fait, sous le regard impuissant de Mr Loup, la compagnie commence à se disperser...
Emporté dans un premier mouvement de foule, Grenouillou, Mr Loup, Yayou, Amador et Kooms sont propulsés vers une grand nombre de mètres en avant...Ils sont en bas...le salut les attend...Incessamment sous peu, Almeida les rejoint avec courage, fier d'avoir survécue à cet enfer naissant...
Mais la compagnie n'est pas entièrement sauvée...Mr Bertin, Lexei, Gamlas et moi-même vivons toujours les prémices de l'apocalypse...
Le drame commence alors pour moi, mes trois compagnons sont emportés par la foule quelques mètres en avant, je suis à présent seul avec mon baladeur mp-3...
Sous le regard rieur de Gamlas, une pauvre pécheresse est broyée contre la barrière des escaliers...c'est avec des larmes naissantes à ses yeux qu'elle arrive à retrouver le fil de la queue sans en sortir trop mutilée...
Et dans un élan de courage...Gamlas et Lexei tentent d'épauler nos braves surveillants...Les surveillants...Ces hommes et femmes ayant luttés jusqu'au bout, solidaires, courageux, alors que leur supérieur les avaient abandonné...tel un rat abandonne un navire avant le naufrage...Le 17 décembre 2004 était devenu pour moi le jour ou les surveillants de mon lycée s'étaient imposés à nous comme des modèles de bravoure et de force d'esprit d'équipe...
Soudain...le drame...tel le naufrage du Titanic, un silence se fait entendre...Qu'arrive t'il? Malgré les courageux efforts de mes compagnons de retenir la foule aux cotés des désormais mythiques surveillants, la barrière de l'escalier se penche...le décor vole, nous ne comprenons pas, nous tombons sur le gazon sans comprendre ce qu'il nous arrive.
Sous moi, une pauvre enfant souffre et hurle pour se relever, chose que nous faisons tous en nous rendant compte de ce qui venait de se passer: La barrière n'était plus, la barrière était rompue...
J'essaye d'éviter de trop réfléchir, et sous le regard de Kooms, d'Amador, de Yayou et de Mr Bertin, je me hâte de rejoindre Gamlas et Lexei, cette rupture nous avait valu à tous les trois d'avancer vers nos amis...chose que nous trois, vétérans de l'enfer, nous hâtons de faire.
Nous étions tous réunis et sur le point d'aller manger, mais qu'est ce que j'apprends? Mr Loup, après un "Ta Gueule!" adressé à une surveillante, a été contraint d'abandonner l'enceinte du self...
Et c'est en dégustant mes chocolats de Noël et en récitant mes péripéties autours de mes amis que dans ma tête, quelque chose était à présent clair: Vive la barrière, Vive Mr Loup.

Gloire à Amador, Almeida, Mr Loup, Kooms, Mr Bertin, Grenouillou, Gamlas, Lexei, Yayou et à moi même...Gloire à la naissante Communauté de la Barrière....

Bah il fo dire que le jeu était inegale le manque de rigueure en défense des pions a suffit a leur perte meme s'ils étaient en inferiorité numerique... et pui les élèves avaient un autre niveau... des attaques massives et repetitives ont fait craquer la défense des pions... Mr Loup a reussi a pénétrer le mole en ecrasant une ou deux tete... la belle mélée c'est finalement écrouler meme si les pions comencaient a reprendre le match en main... finalement la barriere a ceder et place a la debandade... je tien a signaler une forte presence du public qui a crier et applaudi a la fin du match... vala!

Le jour du 17/12/04 et aussi marqué par le premier moimiversair (1 mois qu'il a était créé) ! et si tout les 17 il se passait un événement important ?

Rendez vous le 17 Janvier 2005

Bah merde il s'est rien passé, si ?